Par la suite, remontant la grande galerie, je découvris la chambre où s’endormit un instant le Grand Meaulnes, au cours de cette fête mystérieuse où il croisa pour la première fois, Irène, cette femme au parfum mystérieux, qui fut la femme de sa vie.
En ce début de siècle, c’était la Belle époque, l’insouciance ; la grande guerre n’avait pas encore ravagé les cœurs et les âmes.
Laissant mes regards dérivés vers la fenêtre, je me perdis dans la contemplation du parc aux arbres majestueux, percés de lumière.
Attenante à la chambre, un petit salon invitait l’écrivain à s’y installer, attendant que cristallise l’inspiration...